Le savoir faire

Découvrez le savoir-faire des artisans de la Chronométrie Ferdinand Berthoud. Exigence et passion pour des garde-temps d'exception.
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L'excellence
en tout point

Par passion pour la fabrication de pièces uniques, notre volonté est d'aller toujours plus loin dans la performance de nos calibres maison. En associant histoire et technologie d’avant-garde, bienfacture et savoir-faire traditionnel, les techniciens et artisans de la Chronométrie Ferdinand Berthoud donnent naissance à des montres d’exception. Un garde-temps qui sort de nos ateliers est le fruit de plusieurs années de conception et de longs mois d’une minutieuse production. Le plus grand soin est apporté à la réalisation et à la finition de chacun de ses composants, dont la beauté reflète la perfection du mouvement qui l’anime. Objets rares et précieux, nos chronomètres témoignent de la passion qui animait les explorateurs du siècle des Lumières, pour lesquels l’illustre Maître horloger-mécanicien a réalisé des chefs-d’œuvre.

L'exigence du travail fait main

Inédits, les garde-temps Ferdinand Berthoud exigent un savoir-faire ancestral associé à une technologie d'avant garde, deux qualités que maîtrisent les ingénieurs et artisans de la maison.

La machine n’a pas sa place au sein de la Chronométrie Ferdinand Berthoud. Entièrement décoré main, à l’aide d’outils traditionnels, les mêmes que ceux qu’utilisait Ferdinand Berthoud, chaque composant, même invisible, contribue à la beauté du mouvement. Réaliser les opérations, nombreuses et complexes, de décoration traditionnelle demande donc des années d’apprentissage, une grande maîtrise et beaucoup de patience. L’anglage en est un exemple parfait : la main de l’artisan formant le chanfrein à polir doit être sûre, délicate et minutieuse afin que le pourtour des pièces brille d’un éclat incomparable. Le blocage en est un autre : il s’agit d’un polissage des surfaces qui oblige les reflets à n’être diffusés que dans une seule direction.

A chaque étape de la fabrication de ces composants, les finitions sont contrôlées à l’aide d’une loupe grossissant 6.7x, c’est-à-dire avec un degré de grossissement plus élevé que de coutume. Ainsi, aucune imperfection n'étant tolérée, aucun détail, aussi infime soit-il, ne passe inaperçu. C’est l'excellence horlogère telle que la Chronométrie Ferdinand Berthoud la conçoit.

Et toujours l'innovation pour horizon

Au sein de la Chronométrie Ferdinand Berthoud, l’innovation est un puissant moteur et un héritage vivant. Témoins la conception inédite en piliers du calibre FB-T.FC, son tourbillon à seconde centrale directe, son dispositif inversé de régulation à force constante par transmission fusée-chaîne suspendue et son mécanisme de réserve de marche par cône mobile suspendu. Pour le seul Chronomètre FERDINAND BERTHOUD FB 1, pas moins de quatre demandes de brevet ont été déposés.

L’utilisation de nouvelles matières, la recherche de nouvelles techniques et le développement des finitions les plus nobles attestent une volonté constante d’inventivité. Ainsi l’acier cémenté, c’est-à-dire dont la structure moléculaire a été renforcé par un procédé thermochimique, pour le boîtier du Chronomètre FB 1R.6-1 ; le maillechort avec finitions satinées verticales pour les cadrans ; le chassage, et non le collage, pour les hublots en glace saphir ; le platine 950 pour le boîtier du Chronomètre FB 1.3 ; le platine poli pour le Chronomètre FB 1.4.

Pour la Chronométrie Ferdinand Berthoud, l’héritage du passé et l’entretien de la tradition constituent la promesse d’un avenir radieux.

COSC et Norme ISO 3159

Un chronomètre est une montre de haute précision dont le mouvement a été testé par le COSC, contrôle officiel Suisse des chronomètres, durant plusieurs jours, dans différentes positions et à différentes températures.

Chaque mouvement est contrôlé individuellement selon un programme d’épreuves spécifiques à chaque genre, durant seize jours consécutifs dans cinq positions et à trois températures. Chaque Chronomètre FERDINAND BERTHOUD est unique. Il est identifié par deux numéros : l’un gravé sur son mouvement, l’autre sur un certificat délivré par le COSC.

En outre, seuls les mouvements des montres-bracelets qui satisfont aux critères de précision édictés par la norme ISO 3159 reçoivent un certificat officiel de chronomètre.

Chaque jour, samedi et dimanche compris, les mouvements sont mesurés et remontés.

Sur la base des mesures, 7 critères éliminatoires sont calculés.

Si, et seulement si, les 7 critères sont atteints, le mouvement est certifié « chronomètre ».